Pour Suzanne, le Pontiac, c’est d’abord une histoire de famille. Mais la sienne y a vraiment pris racine lorsqu’elle a quitté Montréal avec son chum, appelés par la vive envie de sauver une maison ancestrale qui allait être démolie. Ils ont pris trois ans à la remettre sur pied. Pour s’intégrer, Suzanne a fait du bénévolat auprès d’organismes qui partagent ses valeurs. Elle s’est trouvé un emploi dans l’un de ces organismes, puis a participé à la création du Festival international du cinéma des femmes de Fort-Coulonge. Il y a toutes sortes de façons de s’impliquer dans le Pontiac et les portes sont grandes ouvertes à qui veut s’investir.